Cette compagnie d’assurances, numéro 1 européen, en fait d’ailleurs un des ses arguments majeurs, fort du plus grand nombre de « conseillers en gestion de patrimoine certifiés » au sein de son réseau.
Moins globale qu’en banque, le conseil en gestion de patrimoine chez les assureurs tourne à 80% autour de l’assurance-vie.
Les cadres, plus difficiles à aborder en prospection pour les assureurs que pour les banquiers, clientèle là aussi réputée plus difficile à travailler que les professions libérales moins analystes sur le sujet, sont faiblement représentés dans le développement actuel des compagnies d’assurance.
Différence notable entre la banque et la compagnie d’assurance : une meilleure image de l’assureur par une « compétence produit », peu de volatilité de la clientèle. En effet, le client, en souscrivant une assurance prévoyance, décès ou vie, s’engage sur une durée et n’a pas envers l’assureur les mêmes exigences que vis-à-vis de la banque.
Peu de transferts de contrats s’opèrent chaque année, au regard des volumes traités.
Alors qu’en banque, il suffit parfois d’un désaccord à propos d’un crédit ou de frais intempestifs non expliqués, pour qu’un client décide de changer de banque.